
Il y a une semaine, le responsable du Croissant-Rouge kurde a rapporté qu’au moins 348 civils avaient trouvé la mort au cours du conflit de plus de 50 jours dans la petite enclave de la Syrie du Nord, Afrin. Alors que la Turquie a reconnu que beaucoup ont été tués à la suite de la guerre, elle a dénoncé les allégations selon lesquelles elle ciblait intentionnellement des civils et a même insinué que les victimes civiles étaient des combattants des YPG kurdes en civil.
Que la Turquie soit sincère ou non, leurs revendications reflètent une opinion largement acceptée qu’il est moralement pire de tuer intentionnellement des civils que de les tuer accidentellement ou accidentellement.
Mais lorsque cette intuition morale est inscrite dans le droit international, elle peut laisser les civils exposés plutôt que protégés.
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