L’enclave terroriste d’Idleb ne cesse de développer ces capacités militaires grâce à la Turquie et les reste des pays de l’Otan et est devenue officiellement la seule entité non-étatique ou du moins non officiellement reconnue comme telle à développer et à utiliser des gaz de combat dans un conflit ouvert.
Le nombre d’unités militaires relevant des organisations terroristes retranchées dans la province rebelle d’Idleb ne cesse croître et certaines portent des dénominations fort bizarres telles que « Gardiens de la Religion » (Horass Eddine), « Instance d’incitation des croyants au combat » (Hay’at Tah’rid Al-Mouminine ila Al-Kital), « Instance de Liberation du Levant » (Hay’at Tah’rir Al-Sham) mais tous émanent plus ou moins des différentes branches d’Al-Qaïda® en Syrie. Toutes ces unités radicales sont soutenues, financées et armées par l’OTAN et les royaumes Arabes.
Idleb est devenu un très gros problème.
La rhétorique guerrière teintée de références religieuses apocalyptiques des principaux chefs des organisations terroristes d’Idleb…
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