Un accord qui expulse et ne laisse aucune option de réponse, ou le juge comme un acte non humanitaire. C’est le résultat de la zone de démilitarisation qui a été convenue entre les présidents russe et turc Vladimir Poutine et Recep Tayyip Erdogan, ce qui exclut les États-Unis d’Amérique et leurs alliés occidentaux sur le territoire syrien.
La zone sera dans la ligne de contact entre l’opposition armée et les troupes de l’armée syrienne. Selon le journal Al Watan, l’accord devrait se développer en trois phases. La première indique que d’ici le 15 octobre, la zone de démilitarisation de 15 kilomètres autour de la ville d’Idlib sera créée. Pour le second, qui court jusqu’au 10 novembre, toutes les armes lourdes doivent être réquisitionnées sous le contrôle de la Russie et de la Turquie. Et la troisième étape est le transfert des fonctions des institutions de l’État à Idlib jusqu’à la…
Voir l’article original 1 148 mots de plus