Malgré une résolution de l’ONU réclamant une trêve « sans délai » après la mort de plus de 500 civils en une semaine, l’affrontement s’est poursuivi dimanche dans la Ghouta orientale entre les forces du régime syrien et des groupes rebelles.
L’Observatoire syrien des droits de l’Homme (OSDH) a notamment rapporté 14 cas de suffocation consécutifs à un bombardement du régime. Parmi eux figurait un enfant qui est décédé. Un médecin a évoqué des « soupçons d’armes chimiques, probablement une attaque au gaz de chlore ». Un responsable du puissant groupe rebelle Jaich al-Islam, Mohamed Allouche, n’a pas pris ces précautions et a explicitement accusé sur son compte Twitter le régime d’avoir utilisé du « gaz de chlore ».
A deux reprises déjà depuis le début de l’offensive du régime syrien en janvier, des soupçons d’attaques chimiques ont été rapportés dans la Ghouta, avec au moins 32 cas de suffocation…
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