Un Syrien identifié comme l’artificier des attentats de Paris et Bruxelles a pu entrer en Europe avec le flux de migrants puis rentrer en Syrie !!!

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Le quotidien belge La Libre Belgique a révélé, mardi 7 mars, l’identité de l’artificier en chef des attentats de Paris et de Bruxelles. Il s’agit d’Ahmad Alkhald, né le 1er janvier 1992 à Alep, en Syrie.

Les enquêteurs le connaissaient également sous plusieurs fausses identités, comme celle de Yassine Noure, né en 1993 à Bruxelles ou encore celle de Mohammed Nawar Mohammed Alqadhi, né en 1992 à Bagdad. Osama Krayem, également mis en examen dans le même dossier, a confirmé à la police belge qu’Ahmad Alkhald était bien la véritable identité du suspect.

Arrivé en Europe lors de la vague migratoire récente, Ahmad Alkhald a rejoint la Syrie le 16 novembre 2015, à peine trois jours après l’attaque du Bataclan. Ses empreintes avaient été relevées sur la ceinture d’explosifs que portait Brahim Abdeslam, le terroriste qui s’était fait exploser devant le café Comptoir Voltaire, ainsi que sur celle…

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Emeutes du pain à Alexandrie, Guizeh, Minya, Desouk, Imbaba – 7 mars 2017

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IV. 27 – Les forces en présence : celles qui attaquent et celles qui luttent

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Une France à refaire... si possible

En rouge, les pays avec la Syrie,
En bleu, les pays qui s’en remettent à l’ONU,
En vert, les pays contre la Syrie

IV. 27 – Les forces en présence :
celles qui attaquent et celles qui luttent

La Syrie, en novembre 2015

Les opposant(e)s appartenant à la bourgeoisie qui s’exilent en Occident reçoivent, de façon générale, un accueil intéressé mais cordial, et ont, très rapidement, une place de choix dans les pays où ils émigrent, ce qui les met à la botte des pays impérialistes qui voient tout le parti qu’ils peuvent tirer de ces arrivistes jusqu’à les faire se retourner, au moment le plus adéquat, contre leur pays d’origine, son système politico-économique et sa population. (Cf. Les dissidents, au temps de l’URSS, passés à grands bruits médiatiques dans le camp occidental, parfois poursuivis par l’ombre effrayante de leurs pas de traîtres, et obsédés par leurs regrets exprimés…

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